CHRONIQUES HISTORIQUES

On le dit souvent : l’histoire se répète. C’est particulièrement vrai à travers ce nouvel épisode de la vie locale conté par notre chroniqueur Michel Vialla. Les chemins ruraux ou vicinaux constituent toujours une préoccupation majeure pour les habitants, mais surtout l’école à la construction de laquelle certains ont opposé, en 1881, l’argument sans doute encore plus fort aujourd’hui : « nous avons besoin de paysans, pas d’intellectuels. » Dans les deux cas, une école neuve a été construite.

Cependant, des progrès restent à faire puisque l’on considère à l’époque que « le mobilier de l’école des garçons, quoiqu’imparfait, pourra temporairement servir pour l’école des filles. »

Changement climatique ou pas, l’on se préoccupe, comme aujourd’hui, de la maîtrise de la ressource en eau en proposant « pour pallier le manque d’eau à certaines époques du chef communal, de l’amener, depuis les toits de la mairie, par des conduites souterraines, jusqu’au puits communal.»

Le Causse sous la Troisième République (1879-1884)

Avec notre chroniqueur, Michel Vialla, nous entrons à présent dans la période contemporaine puisqu’il évoque une figure locale que la plupart d’entre nous ont bien connu. Il illustre bien les vertus caussenardes, bienveillant dans la transmission et acharné sur le terrain de tambourin ou de football.

Hommage à Alain Vareilhes

Des salaisons hors de prix !!!