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UN ROMAN FLEUVE

Comme de nombreuses traditions locales, celle-ci (l’aïllade) s’est perdue. Il faut avouer que les conditions de prélèvement des espèces piscicoles n’étaient  pas tout à fait conformes à la réglementation en vigueur. Ce faisant, les  gardes pêches détournaient pudiquement le regard. Et  aujourd’hui, l’on peut légitimement se poser la question : l’atteinte au milieu n’est elle pas plus importante avec les pratiques contemporaines et commerciales qu’avec un braconnage ritualisé une fois l’an et repectueux de la ripisylve et de la qualité de l’eau  ? Après la lecture de ce  témoignage  de notre historien des branchies et de la gastronomie locale qui ne saurait être aussi vrai s’il n’avait pas été vécu, vous pourrez vous faire votre propre opinion. Attention, certaines images peuvent heurter nos contemporain.ne.s. qui ne connaissent pas encore le lourd passé de pêcheurs en eau claire de plusieurs élus. Merci à Michel Vialla d’écrire ces pages pleines de souvenirs conviviaux et chaleureux.

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19-aillade

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