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LE CAUSSE SOUS LA SECONDE REPUBLIQUE

Nouvelle tranche de vie, cette fois plus « municipale » que nous livre notre historien communal, Michel Vialla dont le patronyme est déjà très présent dans ce récit décrivant  les responsabilités communales.
Pour l’anecdote, il est amusant de rappeler qu’au milieu du dix-neuvième siècle, les communications en général et l’information en particulier éaient balbutiantes. L’institution du suffrage universel en a pâti.
Ainsi, le candidat Lamartine, par ailleurs grand poète reconnu, a-t-il été victime dans sa campagne électorale et dans la France profonde d’interrogations réelles ou malveillantes du type : « Lamartine est-elle un homme ? » Cela a contribué à ce qu’on appelle aujourd’hui une veste mémorable. Le candidat Bonaparte avait vraisemblablement un réseau social plus efficace (5 millions de voix et… 30 000 pour Lamartine).
Plus sérieusement, l’on constatera évidemment que la parité mettra plus d’un siècle avant d’être la règle et que déjà la question des mobilités se posait même si c’était plus pour le commerce que pour les mouvements pendulaires vers la métropole.
Bonne lecture.

34 – Le Causse sous la seconde République (1848-1852)

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